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REGINE P. publié le 29/11/2024 suite à une commande du 12/11/2024
Régule le sucre dans le sang, et vérifiable à la prise de sang. Je le prends en continu
Indice glycémique et charge glycémique
L'équilibre glycémique repose sur deux concepts nutritionnels essentiels à comprendre : l'indice glycémique (IG) et la charge glycémique (CG). Ces outils permettent d'évaluer comment les aliments influencent le taux de sucre sanguin.
L'indice glycémique : mesurer l'impact des glucides sur la glycémie
L'indice glycémique est une échelle de 0 à 100 qui classe les aliments selon leur capacité à élever la glycémie après leur consommation. Le glucose pur, avec un IG de 100, sert de référence. Plus l'IG d'un aliment est élevé, plus il provoque une montée rapide de la glycémie.
On distingue généralement trois catégories :
· IG bas : inférieur à 55 ;
· IG moyen : entre 55 et 70 ;
· IG élevé : supérieur à 70.
Exemple : le pain blanc a un IG d'environ 75, tandis que le pain complet a un IG proche de 55. Ce sont les fibres dans le pain complet qui ralentissent l'absorption des glucides, elles créent une barrière physique qui limite la vitesse à laquelle les enzymes digestives peuvent accéder aux molécules de glucides.
La charge glycémique : une vision plus complète
L'indice glycémique seul ne suffit pas. Une carotte crue a un IG relativement élevé (autour de 35-40), mais contient très peu de glucides. C'est pourquoi les scientifiques ont développé le concept de charge glycémique, qui tient compte à la fois de l'IG et de la quantité de glucides dans une portion standard.
La formule est simple : CG = (IG × grammes de glucides par portion) ÷ 100
Exemple, une pastèque a un IG élevé (72), mais une portion de 120g ne contient que 6g de glucides. Sa charge glycémique est donc de (72 × 6) ÷ 100 = 4,3, ce qui est très faible. En revanche, un bol de pâtes blanches (IG = 70) contenant 50g de glucides aura une charge glycémique de (70 × 50) ÷ 100 = 35, ce qui est considérable.
Les catégories de charge glycémique sont généralement :
· CG basse : 10 ou moins ;
· CG moyenne : 11 à 19 ;
· CG élevée : 20 ou plus.
Diamistab a été spécialement reformulé pour offrir un soutien nutritionnel de qualité aux personnes qui cherchent à maintenir une glycémie normale. Ce complément alimentaire est fabriqué avec des ingrédients de haute qualité, composé de banaba, gymnema, cannelle, chrome et vitamine C qui agissent ensemble pour aider votre organisme à maintenir un niveau normal de sucre dans le sang.
Le Banaba est connu pour son action sur l'assimilation des sucres en la diminuant. Il contribue efficacement à maintenir les niveaux de glucose sanguin et favorise un métabolisme normal du glucose. Son action enzymatique est connue pour aider l'organisme à gérer les apports en sucre de manière plus équilibrée.
Le Gymnema est une plante traditionnellement utilisée pour ses propriétés régulatrices de la glycémie. Il est particulièrement connu pour aider à diminuer l'envie de sucre et donc réduire sa consommation. Il contribue à maintenir le taux de sucre normal dans l'organisme en évitant les pics après repas, tout en soutenant un métabolisme du glucose normal.
La cannelle est une épice couramment utilisée dans la cuisine depuis des siècles. Des études scientifiques ont montré que la cannelle peut aider à prendre en charge un taux de glucose normal dans le sang et améliorer la sensibilité à l'insuline. Elle est en effet connue pour augmenter la sensibilité à celle-ci, contribuant ainsi au glucose normal et au métabolisme de l'insuline dans le cadre d'un mode de vie sain.
La vitamine C contribue à protéger les cellules contre le stress oxydatif. Elle est connue pour protéger les vaisseaux pouvant être impactés par l'hyperglycémie. Cette protection est essentielle pour prévenir les complications liées à une glycémie élevée sur le long terme.
Le chrome est un oligo-élément essentiel à notre santé. Il contribue au maintien d'une glycémie normale et au métabolisme normal des macronutriments. En effet, lorsque l'organisme ne dispose pas de suffisamment de chrome, cela peut entraîner des troubles du métabolisme du glucose, notamment une diminution de la sensibilité à l'insuline. Le chrome est donc très important pour contribuer au maintien d'une glycémie normale.
Il a été remarqué que la tolérance au glucose diminue et l'insulinorésistance augmente avec l'âge. Néanmoins, cela n'est pas simplement dû au vieillissement, d'autres facteurs environnementaux associés à un mauvais mode de vie (alimentation, tabac et alcool) sont également impliqués. Plusieurs éléments ont été identifiés, notamment la prise de poids, la diminution de la masse musculaire, les mauvaises habitudes alimentaires et le manque d'activité physique, tous contribuent à une réduction de la sensibilité à l'insuline.
Le pancréas produit de l'insuline, une hormone qui régule le taux de sucre dans le sang. Elle permet au glucose de pénétrer dans le muscle où il est utilisé pour produire de l'énergie. Cependant, en cas de déficit de production d'insuline, le glucose ne peut pas pénétrer dans le muscle et s'accumule dans le sang, entraînant une hyperglycémie et des lésions d'organes tels que le cœur, le cerveau, les reins ou les yeux.
C'est un dysfonctionnement chronique considéré comme grave, qui se manifeste généralement lorsque le pancréas ne produit pas suffisamment d'insuline ou lorsque l'organisme ne parvient pas à utiliser efficacement l'insuline produite par notre corps. À noter que l'insuline est une hormone importante qui intervient dans la régulation de notre glycémie, elle correspond à la quantité de sucre dans le sang. Au fil du temps, cela peut causer certains dommages et aggraver d'autres pathologies telles que les maladies cardiovasculaires ou encore l'hypercholestérolémie.
Le taux de glycémie est mesuré grâce à la teneur en sucre (glucose) présente dans notre sang. Une glycémie est dite normale quand sa mesure à jeun est comprise entre 0.70 et 1.10 g/L. On parle de glycémie élevée lorsque cette mesure dépasse les 1.10g/L à jeun.
La régulation de la glycémie est essentielle pour se maintenir en bonne santé. Il existe plusieurs méthodes naturelles pour réguler sa glycémie. L'une des plus simples consiste à manger des aliments à faible indice glycémique, tels que les légumes, les fruits frais, les légumineuses et les noix. Il est également important de limiter la consommation en glucides simples, comme le sucre, le pain blanc et les pâtes, qui peuvent provoquer une augmentation rapide de la glycémie. De plus, faire de l'exercice régulièrement peut aider à réguler la glycémie en améliorant la sensibilité à l'insuline et en favorisant la conversion du glucose en énergie.
Une alimentation trop riche en sucres peut amener à un déséquilibre glycémique, créant un cercle vicieux particulièrement préjudiciable pour la gestion du poids. Les fluctuations importantes de la glycémie peuvent provoquer des fringales et une consommation excessive d'aliments sucrés, contribuant ainsi à la prise de poids. Notre formule unique associe un ensemble d’actifs qui constituent un soutien précieux pour les personnes cherchant à maintenir un poids de forme tout en équilibrant leur glycémie.
Une alimentation équilibrée constitue un pilier fondamental de la régulation glycémique. Il est recommandé de privilégier :
Les aliments à faible indice glycémique (légumes, fruits frais, légumineuses, noix) ;
Une réduction des glucides simples (sucre raffiné, farines blanches) ;
Une activité physique régulière, améliorant la sensibilité à l'insuline et favorisant l'utilisation du glucose comme source d'énergie.
L'association de ces stratégies naturelles avec notre complément alimentaire spécialement formulé offre une approche intégrée pour maintenir l'équilibre glycémique et prévenir les complications associées aux fluctuations glycémiques chroniques.
Pour maintenir une glycémie équilibrée au quotidien, voici les aliments à privilégier :
· Les légumes à feuilles vertes : épinards, chou kale, blettes et salade sont riches en fibres et ont un faible impact sur la glycémie ;
· Les légumineuses : lentilles, pois chiches et haricots secs combinent protéines végétales et fibres, permettant une libération progressive du glucose dans le sang ;
· Les céréales complètes : avoine, quinoa, sarrasin et riz complet apportent des glucides complexes et des fibres qui ralentissent l'absorption du sucre ;
· Les protéines maigres : volaille, poisson, œufs et tofu stabilisent la glycémie et procurent un effet rassasiant durable ;
· Les oléagineux : amandes, noix, noisettes contiennent des graisses saines qui améliorent la sensibilité à l'insuline ;
· Les graines : chia, lin et courge sont riches en fibres et en acides gras essentiels, bénéfiques pour l'équilibre glycémique ;
· Les fruits à indice glycémique bas : pommes, poires, agrumes et baies contiennent des fibres et des antioxydants sans provoquer de pics glycémiques importants ;
· Les aliments fermentés : yaourt nature, kéfir et légumes lacto-fermentés favorisent une flore intestinale saine, ce qui influence positivement le métabolisme du glucose.
· Les graisses saines : huile d'olive, avocat et poissons gras contiennent des acides gras qui améliorent la sensibilité à l'insuline et réduisent le processus de l'inflammation.
2 gélules/jour, voie orale. 1 midi et soir, avant le repas.
Idéalement avant les repas les plus copieux et/ou sucrés.
Conserver à l’abri de la chaleur dans un endroit sec.
Complément alimentaire. Ne peut remplacer une alimentation variée et équilibrée et un mode de vie sain. Tenir hors de portée des jeunes enfants Ne pas dépasser la dose journalière maximale recommandée. Réservé à l'adule. Déconseillé aux femmes enceintes sans avis médical. Consultez votre médecin ou votre pharmacien en cas d'usage concomitant de traitement contre le diabète.
INGRÉDIENTS : extrait de feuille de gymnéma sylvestris (Gymnema sylvestre (Retz.) R Br. ex Sm.) ; agent de charge : gomme d'acacia ; enveloppe de la gélule : hydroxypropylméthylcellulose ; extrait d’écorce de cannelle de Chine (Cinnamomum cassia (nee & t.nees) j.presl) ; poudre de jus de fruit d'acérola titrée en vitamine C (Malpighia glabra L.) ; extrait de feuille de banaba (Lagerstroemia speciosa (l.) pers.) ; picolinate de chrome.
INGRÉDIENTS | POUR 2 GÉLULES | EPS* | VNR** |
Extrait de feuille de gymnéma sylvestris dont acide gymnémique | 400 mg 100 mg | 2400 mg | - |
Extrait d'écorce de cannelle de Chine | 200 mg | 1000 g | - |
Extrait de feuilles de banaba dont acide corosolique | 48 mg 0,48 mg | 240 mg | - |
Vitamine C issue d'acérola | 24 mg | - | 30% |
Chrome | 40 µg | - | 100% |
* EPS = Equivalent Plante Sèche / **VNR = Valeurs Nutritionnelles de Référence
La fréquence des déséquilibres glycémiques connaît une augmentation significative avec l'âge. D'après les données épidémiologiques actuelles, environ un homme sur cinq dans la tranche d'âge 70-85 ans présente une hyperglycémie chronique, tandis que ce ratio est d'une femme sur sept dans la tranche 75-85 ans parmi celles recevant un traitement.
Sur le territoire français, on observe une concentration particulièrement élevée de cas chez les seniors, avec une incidence maximale entre 70 et 85 ans pour la population masculine et entre 75 et 85 ans pour la population féminine. Il est également notable que les territoires d'Outre-mer affichent une prévalence presque doublée par rapport à la moyenne hexagonale.
Un trouble glycémique constitue une altération métabolique chronique potentiellement grave, caractérisée soit par une production insuffisante d'insuline par le pancréas, soit par une incapacité de l'organisme à utiliser efficacement cette hormone. L'insuline joue un rôle fondamental dans la régulation de la concentration de glucose sanguin. Une hyperglycémie persistante, conséquence fréquente d'un déséquilibre glycémique non contrôlé, peut provoquer à long terme des lésions tissulaires et favoriser le développement de comorbidités comme les pathologies cardiovasculaires ou les dyslipidémies.
Condition précurseur où un individu présente une concentration de glucose sanguin supérieure à la normale sans toutefois atteindre les seuils diagnostiques du diabète. Cette situation peut se manifester par une glycémie à jeun anormale ou une intolérance au glucose, voire les deux simultanément.
Résulte d'un processus auto-immun détruisant les cellules bêta pancréatiques, entraînant une absence totale de production d'insuline. Cette forme représente 5 à 10% de la totalité des cas diagnostiqués. Son développement implique des facteurs auto-immunitaires, génétiques et environnementaux.
Se caractérise par une résistance accrue à l'action de l'insuline, combinée à une incapacité pancréatique à compenser cette résistance par une production suffisante d'insuline. Cette forme constitue 90 à 95% des cas diagnostiqués. Le processus débute généralement par l'insulinorésistance, puis évolue vers une diminution progressive de la production d'insuline, pouvant mener à terme à une cessation totale.
Forme d'intolérance glucidique apparaissant ou diagnostiquée pour la première fois pendant la grossesse.
Les cellules pancréatiques produisent l'insuline, hormone essentielle à l'absorption et à l'utilisation du glucose. Leur dysfonctionnement provoque une carence en insuline et en amyline (protéine pancréatique induisant la satiété), favorisant ainsi la prise pondérale chez les patients diabétiques. Le facteur nucléaire hépatocytaire 4 (HNF4A) joue un rôle crucial dans la génétranscription des cellules pancréatiques et intervient significativement dans la pathogenèse diabétique.
L'insulinorésistance, caractéristique principale du diabète, perturbe le métabolisme lipidique et augmente la concentration d'acides gras circulants, conduisant à l'obésité, aux maladies cardiovasculaires et au diabète de type 2. Dans ce dernier, le glucose plasmatique perd sa capacité à stimuler la sécrétion d'insuline et à inhiber celle de glucagon, entraînant une surproduction hépatique de glucose et une diminution de son utilisation périphérique. Dans le diabète de type 2, le seuil d'hyperglycémie nécessaire pour maintenir des niveaux d'insuline adéquats est considérablement élevé.
Bien que la pathogenèse diabétique soit multifactorielle, plusieurs facteurs de risque ont été identifiés, certains non modifiables, d'autres liés au mode de vie.
L'augmentation de l'IMC est constamment identifiée comme l'un des facteurs prédictifs majeurs du développement d'une hyperglycémie chronique.
Une hyperglycémie prolongée peut affecter de nombreux systèmes organiques et engendrer des complications graves. Ces complications sont classifiées en deux catégories:
Complications microvasculaires
Complications macrovasculaires
Les personnes âgées présentent une tolérance au glucose diminuée et une insulinorésistance plus marquée comparativement aux sujets jeunes. La question de savoir si cette altération fonctionnelle résulte inévitablement du vieillissement biologique ou si elle découle de modifications environnementales et comportementales demeure un sujet de recherche active.
Plusieurs facteurs interdépendants ont été identifiés :
Ces facteurs contribuent collectivement à réduire la sensibilité à l'insuline. L'insulinorésistance gériatrique prédomine au niveau du muscle squelettique, tandis que la production hépatique de glucose reste généralement préservée. L'interaction entre la diminution de la sécrétion d'insuline et l'augmentation de l'insulinorésistance explique la majorité des anomalies du métabolisme glucidique observées chez les personnes âgées.
Des études démontrent que la réduction pondérale, particulièrement la diminution de l'adiposité abdominale, associée à une activité physique régulière, peut améliorer la sensibilité à l'insuline et la tolérance au glucose, contribuant ainsi à prévenir l'apparition de troubles glycémiques chez les seniors.
Les cellules β des îlots de Langerhans possèdent moins d'enzymes antioxydantes que d'autres tissus, les rendant particulièrement vulnérables à la surproduction d'espèces réactives de l'oxygène (ERO). L'excès d'ERO provoque des altérations des lipides, protéines et ADN, conduisant au dysfonctionnement et à l'apoptose des cellules β. Cette surproduction contribue également à l'insulinorésistance et à la diminution de la sécrétion d'insuline.
Outre son impact sur la fonction pancréatique et la sensibilité à l'insuline, le stress oxydatif induit par l'hyperglycémie chronique est impliqué dans le développement des complications tardives du diabète de type 2.
Le Banaba (Lagerstroemia speciosa), hypoglycémiant naturel d'Asie du Sud-Est13-15
Le Banaba, nom commun de Lagerstroemia speciosa (famille des Lythraceae), est un arbre ornemental originaire d'Asie du Sud et du Sud-Est, reconnaissable à ses fleurs roses ou pourpres particulièrement attrayantes. Au-delà de son aspect décoratif qui lui vaut d'être fréquemment planté le long des routes, dans les jardins et les parcs, cette espèce occupe une place importante dans la médecine traditionnelle asiatique, notamment aux Philippines où ses feuilles sont consommées sous diverses formes pour leurs propriétés médicinales.
La richesse phytochimique du Banaba a été documentée par de nombreuses études, révélant la présence de plusieurs composés bioactifs dans ses feuilles : triterpènes, tanins, acides ellagiques, glycosides et flavones. Parmi ces molécules, l'acide corosolique a été l'un des premiers principes actifs identifiés et associés aux effets hypoglycémiants de la plante.
Une recherche plus approfondie a permis d'identifier d'autres composés d'intérêt. Dans la fraction hydrosoluble de l'extrait, la lagerstroemine, un ellagitannin, a montré une activité significative sur le métabolisme du glucose. Par ailleurs, en utilisant un modèle cellulaire d'adipocytes 3T3-L1 et un test d'absorption du glucose comme méthode de criblage fonctionnel, les chercheurs ont découvert que l'extrait aqueux de Banaba présentait une activité inductrice du transport de glucose similaire à celle de l'insuline. Le fractionnement par HPLC couplé à un test d'absorption du glucose a permis d'identifier les gallotannins comme composants responsables de cette activité, le penta-O-galloyl-glucopyranose (PGG) étant le gallotannin le plus puissant.
De façon intéressante, le PGG présente une double action : il stimule l'absorption du glucose dans les adipocytes tout en exerçant des propriétés anti-adipogéniques. Cette combinaison unique d'effets métaboliques, absente des médicaments insulino-mimétiques actuels, suggère un potentiel thérapeutique considérable.
Les études précliniques ont confirmé l'efficacité du Banaba sur des modèles animaux de diabète. Dans une expérience utilisant des souris diabétiques héréditaires (Type II, KK-AY/Ta Jcl), l'administration d'un régime contenant 5% d'extrait aqueux à chaud (HWE) de feuilles de Banaba ou 2% d'éluat méthanolique de la fraction partielle adsorbée sur résine HP-20 (HPME) pendant 5 semaines a presque entièrement supprimé l'élévation de la glycémie plasmatique. La consommation d'eau, généralement accrue chez les animaux diabétiques, était significativement réduite chez les souris recevant ces extraits. De plus, le taux d'insuline sérique et la quantité de glucose excrété dans les urines étaient également diminués chez les souris traitées par HWE. Les chercheurs ont également observé une réduction du taux de cholestérol plasmatique total chez les souris recevant HWE ou HPME.
Ces résultats expérimentaux ont été corroborés par des études cliniques chez l'homme, confirmant le potentiel du Banaba dans la gestion du diabète de type 2. Le mécanisme d'action prédominant semble être l'amélioration de la sensibilité à l'insuline et la facilitation du transport du glucose dans les cellules, notamment via l'activation des récepteurs GLUT4, responsables de l'absorption du glucose dans les tissus musculaires et adipeux.
La dose efficace de 1% d'acide corosolique, présente dans notre formulation, correspond aux concentrations ayant démontré des effets bénéfiques dans les études scientifiques, permettant une diminution de l'assimilation des sucres et contribuant ainsi au maintien de niveaux de glucose sanguins équilibrés.
Le gymnema sylvestre, plante originaire des forêts tropicales d'Inde, contient des acides gymnémiques qui peuvent temporairement bloquer les récepteurs gustatifs du sucré sur la langue, réduisant ainsi l'appétence pour les aliments sucrés. Cette propriété contribue à maintenir des niveaux glycémiques équilibrés en limitant la consommation excessive de sucres.
Au-delà de cet effet sur la perception gustative, des recherches cliniques ont démontré l'impact significatif du gymnema sur la régulation glycémique. Une étude particulièrement révélatrice a évalué l'effet de GS4, un extrait hydrosoluble de feuilles de gymnema sylvestre, administré à raison de 400 mg par jour à 27 patients atteints de diabète insulino-dépendant (DID). Les résultats ont montré une réduction notable des besoins en insuline, accompagnée d'une diminution de la glycémie à jeun, de l'hémoglobine glyquée (HbA1c) et des protéines plasmatiques glycosylées.
De façon remarquable, les niveaux de lipides sériques sont revenus à des valeurs quasi normales avec le traitement au GS4, bien que l'hémoglobine glyquée et les protéines plasmatiques glycosylées soient restées supérieures aux valeurs de référence. En comparaison, les patients diabétiques de type 1 recevant uniquement une insulinothérapie conventionnelle n'ont pas présenté de réduction significative des lipides sériques, de l'HbA1c ou des protéines plasmatiques glycosylées après 10-12 mois de suivi.
Ces observations individuelles ont été confirmées à plus grande échelle par une méta-analyse récente examinant l'effet de la supplémentation en gymnema sylvestre sur le contrôle glycémique chez les patients atteints de diabète de type 2. Cette revue systématique, englobant 10 études cliniques et un total de 419 participants, a démontré que la supplémentation en gymnema entraînait des améliorations significatives sur plusieurs paramètres métaboliques clés :
Ces résultats, statistiquement significatifs par rapport aux valeurs initiales, soulignent l'intérêt potentiel du gymnema comme thérapie complémentaire dans la gestion du diabète de type 2 et de ses complications associées.
Sur le plan des mécanismes d'action, les chercheurs ont émis l'hypothèse que le gymnema sylvestre pourrait stimuler la production d'insuline endogène, probablement par un processus de régénération ou de revitalisation des cellules bêta pancréatiques résiduelles. Cette action fondamentale expliquerait pourquoi le gymnema peut agir non seulement sur les symptômes mais également sur certains mécanismes sous-jacents impliqués dans la pathogenèse du diabète, comme en témoigne son effet bénéfique sur le profil lipidique, souvent altéré chez les patients diabétiques.
La cannelle est utilisée depuis des siècles dans diverses cultures. Parmi les centaines d'espèces du genre Cinnamomum, quatre sont principalement utilisées pour obtenir l'épice cannelle. Les plus courantes sont la cannelle de Ceylan (Cinnamomum zeylanicum) et la cannelle de Chine (Cinnamomum aromaticum).
De nombreuses études précliniques soutiennent l'efficacité de la poudre de cannelle, de ses extraits aqueux, du cinnamaldéhyde et d'autres composés actifs dans la régulation de l'hyperglycémie. Des essais cliniques, bien que limités, suggèrent que les polymères polyphénoliques hydrosolubles présents dans la cannelle potentialisent l'action de l'insuline et exercent une activité antioxydante.
La vitamine C, ou acide ascorbique, possède une histoire fascinante liée à la recherche de la cause du scorbut, une maladie hémorragique ancienne. Isolée en 1928, cette vitamine hydrosoluble s'est révélée être bien plus qu'un simple remède contre le scorbut, jouant un rôle fondamental dans de nombreuses fonctions métaboliques essentielles.
Au-delà de son rôle bien connu dans le développement et le maintien des tissus conjonctifs, la formation osseuse, la cicatrisation des plaies et la santé des gencives, la vitamine C intervient dans plusieurs processus métaboliques cruciaux. Elle participe notamment à l'activation de la vitamine B (acide folique), à la conversion du cholestérol en acides biliaires et à la transformation du tryptophane, un acide aminé, en sérotonine, un neurotransmetteur essentiel.
Dans le contexte spécifique des troubles glycémiques, la vitamine C revêt une importance particulière en raison de ses puissantes propriétés antioxydantes. Le corps humain est continuellement exposé à différents agents qui génèrent des espèces réactives, communément appelées radicaux libres (espèces réactives de l'oxygène/azote ou ERO/ERA). Ces molécules instables, par le transfert de leur électron non apparié, provoquent l'oxydation des composants cellulaires. Pour contrecarrer les effets délétères de ces espèces, l'organisme dispose de systèmes antioxydants endogènes, mais bénéficie également d'antioxydants exogènes apportés par l'alimentation, tels que la vitamine C, qui neutralisent ces espèces réactives et maintiennent l'homéostasie.
Tout déséquilibre entre les espèces réactives et les antioxydants conduit à un état connu sous le nom de "stress oxydatif", impliqué dans le développement de nombreuses pathologies, dont le diabète. De nombreuses études ont mis en évidence l'implication du stress oxydatif dans la pathogenèse du diabète, caractérisée par des altérations des systèmes enzymatiques, une peroxydation lipidique accrue, un métabolisme perturbé du glutathion et une diminution des niveaux de vitamine C. Les lipides, les protéines, les dommages à l'ADN, le glutathion, la catalase et la superoxyde dismutase constituent divers biomarqueurs du stress oxydatif dans le diabète.
Les complications du diabète induites par le stress oxydatif peuvent inclure des accidents vasculaires cérébraux, des neuropathies, des rétinopathies et des néphropathies. Dans ce contexte, la supplémentation en vitamine C prend tout son sens, non seulement pour son rôle protecteur général, mais aussi pour son action spécifique contre le stress oxydatif associé aux déséquilibres glycémiques.
L'exercice physique, souvent recommandé dans la gestion du diabète, augmente la production de radicaux libres et la peroxydation lipidique. Un effort intense chez une personne non entraînée peut induire des dommages oxydatifs et provoquer des lésions musculaires. Cependant, l'entraînement aérobique renforce le système de défense antioxydant en augmentant l'activité de la superoxyde dismutase. Dans ce contexte, la vitamine C s'est révélée capable de réduire l'augmentation de la peroxydation lipidique induite par l'exercice, offrant ainsi une protection supplémentaire aux personnes diabétiques pratiquant une activité physique régulière.
Par ailleurs, une consommation accrue de vitamine C a été associée à une meilleure tolérance au glucose et à une amélioration de l'action de l'insuline, deux paramètres fondamentaux dans la gestion des troubles glycémiques. La synergie entre l'exercice physique régulier et la supplémentation en vitamine C apparaît donc comme une stratégie particulièrement pertinente pour les personnes présentant des déséquilibres glycémiques.
Le chrome, présent dans l'environnement principalement sous forme de Cr(III) et Cr(VI), est un micronutriment aux propriétés antidiabétiques significatives. En cas de carence, on observe une diminution de la sensibilité à l'insuline et des perturbations du métabolisme glucido-lipidique.
Des méta-analyses d'essais cliniques ont démontré qu'une supplémentation en chrome pendant 4 à 25 semaines réduit significativement la glycémie à jeun, l'insulinémie, l'hémoglobine glyquée et l'indice HOMA-IR chez les patients diabétiques. Les interventions prolongées (≥12 semaines) montrent des améliorations plus marquées, indépendamment de la dose administrée.
Au niveau moléculaire, le chrome améliore l'activité kinase du récepteur β de l'insuline, potentialise la cascade de signalisation insulinique (impliquant la PI3-kinase et la protéine kinase B), et favorise la translocation du transporteur de glucose-4 (GLUT4) vers la membrane cellulaire.
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La santé naturelle est une approche holistique de la santé qui s’appuie sur un ensemble de pratiques et de produits issus de la tradition et de la recherche scientifique. Elle vise à restaurer l’équilibre physiologique de l’organisme, à le maintenir en bonne santé et à prévenir l’apparition de maladies. Le complément alimentaire fait partie des produits de santé naturelle qui constituent de puissants leviers de prévention pour contribuer au bien-être et à la bonne santé des individus. Il agit dans trois axes.
En agissant sur la diminution de facteurs de risques de maladies (baisse du cholestérol, renforcement de la densité minérale osseuse…) et en maintenant l’équilibre physiologique, de nombreux actifs présents dans les compléments alimentaires permettent de maintenir les consommateurs en bonne santé.
En dehors de toute situation pathologique, de nombreux in- conforts peuvent apparaître chez des personnes en bonne santé (difficulté à s’endormir, inconforts articulaires, digestion difficile, stress…). Dans toutes ces situations, le complément alimentaire apporte une réponse mesurée et efficace contre ces désagréments.
Sources de nutriments, certains compléments alimentaires pallient les déficiences alimentaires. Sans se substituer à un régime équilibré, ils répondent aux besoins spécifiques de certaines populations (femmes enceintes, personnes âgées, végétariens...)
(source Synadiet)
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