CYZTINELLE BiO

Optez pour le confort urinaire naturel avec Cyztinelle Bio

Le confort urinaire est un aspect essentiel de la santé et du bien-être. Les problèmes urinaires peuvent considérablement affecter la qualité de vie, mais il existe des moyens naturels pour soutenir le système urinaire. Dans cette optique, LT Labo a conçu Cyztinelle Bio, une formule innovante, élaborée avec soin pour soutenir le bien-être urinaire. En intégrant les bienfaits de la cranberry, de la bruyère et de l'hibiscus, ce complément alimentaire Bio vous offre une approche naturelle pour un équilibre urinaire optimal.

La canneberge : un trésor de proanthocyanidines (PAC)

La Canneberge, scientifiquement connue sous le nom de Vaccinium macrocarpon, est une petite baie au potentiel extraordinaire. Elle est riche en proanthocyanidines (PAC), des composés naturels qui ont été au cœur de nombreuses études scientifiques. Cyztinelle Bio tire parti de ces PAC pour soutenir le confort urinaire.

Les PAC présents dans la canneberge ont montré leur efficacité dans la préservation de l'équilibre urinaire. En prenant 4 gélules de Cyztinelle Bio par jour, vous apportez à votre organisme une quantité significative de 50 mg de PAC.

La bruyère : le soutien au drainage naturel

La Bruyère, un ingrédient clé de Cyztinelle Bio, est reconnue pour son action bénéfique sur l'élimination rénale de l'eau. Elle agit comme un agent de drainage naturel, favorisant le processus d'élimination des déchets et des toxines du corps. L'effet stimulant de la bruyère sur le système urinaire permet de "nettoyer" les voies urinaires, contribuant ainsi au bien-être urinaire général. La bruyère est utilisée à des fins traditionnelles pour ses propriétés de drainage, et Cyztinelle Bio intègre cet ingrédient naturel dans sa formule pour vous aider à maintenir un confort urinaire optimal.

L'Hibiscus : tradition et soutien au système urinaire

L'Hibiscus est un ingrédient traditionnellement utilisé pour contribuer au fonctionnement du système urinaire. Cette plante aux magnifiques fleurs rouge vif, a une longue histoire d'utilisation traditionnelle dans le maintien de la santé des voies urinaires. Ce bel arbuste tropical, offre bien plus que des fleurs attrayantes. Les propriétés de l'hibiscus sont depuis longtemps appréciées pour leur capacité à faciliter les fonctions de drainage de l'organisme. En favorisant l'élimination des déchets et des toxines, l'hibiscus offre un soutien naturel au système urinaire, contribuant ainsi à la sensation de bien-être.

En plus de ses vertus de drainage, l'hibiscus stimule également la fonction d'élimination de l'organisme. Cette stimulation peut être particulièrement utile pour maintenir l'équilibre hydrique du corps, aidant ainsi à évacuer l'excès de liquides et à maintenir le confort urinaire.

Qu’est-ce qu’un inconfort urinaire ?

L'inconfort urinaire est un terme générique utilisé pour décrire des sensations désagréables ou de gêne liée au système urinaire. L'inconfort urinaire peut se manifester par une variété de troubles, tels qu'une douleur ou une sensation de brûlure lors de la miction, des envies fréquentes d'uriner, des besoins urgents d'uriner même lorsque la vessie n'est pas pleine, et la libération de petites quantités d'urine à chaque miction. Ces symptômes sont souvent le signe d'une irritation des voies urinaires, qui peut être due à divers facteurs, y compris des infections bactériennes ou d'autres affections sous-jacentes.

Pourquoi les gênes urinaires affectent-elles principalement les femmes ?

La prédominance de trouble du système urinaire chez les femmes est un phénomène couramment observé, et plusieurs facteurs contribuent à cette tendance. L'anatomie féminine joue un rôle essentiel, car les femmes ont un urètre plus court que les hommes, ce qui facilite la migration des bactéries vers la vessie. De plus, le méat urétral (l'orifice qui permet l'élimination de l'urine) chez les femmes est situé à proximité de l'anus, augmentant ainsi le risque de contamination par des bactéries intestinales, notamment Escherichia coli, la principale coupable des infections urinaires. Les fluctuations hormonales, en particulier pendant la grossesse et la ménopause, peuvent également rendre les femmes plus sensibles aux infections urinaires, car elles peuvent affecter les muqueuses de l'urètre et de la vessie. De plus, les rapports sexuels peuvent introduire des bactéries dans l'urètre, augmentant le risque d'infections urinaires. Bien que les gênes urinaires touchent principalement les femmes, il est essentiel de rappeler que les hommes peuvent également en souffrir, et les facteurs de risque diffèrent.

Quels aliments consommer pour retrouver un confort urinaire ?

Pour favoriser le confort urinaire, il est important de veiller à son alimentation. Certaines catégories d'aliments et ingrédients peuvent contribuer à réduire les désagréments urinaires, tels que :

-   Eau : L'hydratation adéquate est cruciale pour maintenir la dilution de l'urine, réduisant ainsi le risque d'irritation de la vessie. Buvez suffisamment d'eau tout au long de la journée ;

-   Canneberge : elles sont riches en proanthocyanidines (PACs) qui peuvent contribuer au maintien de l'équilibre urinaire. La consommation régulière de jus de canneberge peut être bénéfique ;

-   Ail et oignon : Ces aliments ont des propriétés antibactériennes naturelles et peuvent aider à prévenir les infections urinaires ;

-   Fruits et légumes riches en vitamine C : Les agrumes, les fraises, les poivrons et les kiwis sont d'excellentes sources de vitamine C, qui peut renforcer le système immunitaire et aider à prévenir les inconforts urinaires ;

-   Graines de courge : Les graines de courge sont riches en nutriments et en antioxydants, ce qui en fait un choix sain pour le confort urinaire ;

-   Yaourt : Les yaourts contenant des probiotiques peuvent contribuer à équilibrer la flore intestinale et réduire le risque d'infections urinaires ;

-   Aliments riches en fibres : Les fibres alimentaires contribuent au bon fonctionnement du système digestif, ce qui peut aider à réduire la pression sur la vessie.

Combien ?

2 gélules matin et 2 gélules soir, voie orale.

Conditions de conservation

Conserver a l’abri de la chaleur dans un endroit sec.

Précautions d’emploi

Complément alimentaire. Ne peut remplacer une alimentation variée et équilibrée et un mode de vie sain. Tenir hors de portée des jeunes enfants. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Femmes enceintes ou allaitantes : sur avis médical.

INGRÉDIENTS : Extrait de sommités fleuries de bruyère* (Calluna vulgaris L.) ; extrait de fleurs d’hibiscus* (Hibiscus sabdariffa L.) ; agent de remplissage : farine de riz*; poudre de baies de canneberge* (Vaccinium macrocarpon) contenant 14 % de proanthocyanidines ; gélule d’origine végétale : hydroxypropylméthylcellulose.

*Issu de l’Agriculture Biologique

** EPS = Equivalent Plante Sèche

Article scientifique 

La canneberge

Les canneberges (Vaccinium macrocarpon) poussent en Amérique du Nord et sont transformées en produits alimentaires tels que le jus, les canneberges séchées sucrées, la sauce et certains produits pharmaceutiques. Elles possèdent de nombreux composés phénoliques et il est bien connu que ces composés phénoliques sont responsables d'une variété de bienfaits pour la santé, y compris une capacité antioxydante. Les baies sont des sources notables de phénols naturels dans l'alimentation humaine et sont associées aux effets bénéfiques pour la santé des légumes et des fruits. Les composants bioactifs de la canneberge ont été bien caractérisés. Ces substances phytochimiques agissent comme des antioxydants et neutralisent les dommages causés par les radicaux libres. Les canneberges ont des propriétés anti-adhésion et sont utilisées pour la prévention des infections des voies urinaires et des maladies des gencives. 1

Avorn et al. ont mené le premier essai clinique bien contrôlé démontrant que la consommation régulière de jus de canneberge réduisait la présence de bactéries dans l'urine, et que l'effet n'était pas lié à une plus grande acidité de l'urine. Des échantillons d'urine de base, suivis d'échantillons mensuels, ont été prélevés au cours des six mois de l'étude. D‘autres études ont inclus 1 049 participants de tous âges qui ont reçu soit des produits à base de canneberge (jus, comprimés ou capsules de canneberge), soit un jus placebo ou de l'eau pendant au moins un mois pour la prévention des infections urinaires. Trois études incluaient des jeunes femmes, trois études évaluaient des hommes et des femmes âgés et quatre études évaluaient des personnes souffrant de lésions de la moelle épinière. Le traitement par des produits à base de canneberge a réduit l'incidence des infections urinaires à 12 mois par rapport aux sujets placebo/témoins, et a été plus efficace chez les femmes souffrant d'infections urinaires récurrentes que chez les hommes et les femmes âgés. Les auteurs ont conclu que les canneberges pouvaient réduire le nombre d'épisodes d'infections urinaires sur une période d'un an. Des auteurs ont également étudié les effets du jus de canneberge sur la formation de biofilms UPEC dans une petite population humaine. Pour étudier les infections urinaires post-coïtales, Bohbot36 a randomisé des femmes ayant souffert de trois épisodes d'infections urinaires au cours des six mois précédents, afin qu'elles reçoivent une dose unique post-coïtale, dans les six heures, de PAC (36 mg), de composants totaux de canneberge ou d'un placebo. La réponse a été plus significative dans le groupe traité avec tous les composants de la canneberge que dans le groupe traité avec le placebo ou les PAC pendant les 45 jours de l'étude. Il semble que certains composants, différents des PAC, puissent également contribuer à l'effet préventif de la canneberge sur les infections urinaires. Dans une enquête menée auprès de femmes norvégiennes, les auteurs ont constaté que la canneberge était le traitement à base de plantes le plus couramment utilisé pendant la grossesse et qu'il n'y avait aucune preuve d'innocuité ou de nocivité pour le fœtus. 2

L'Hibiscus

L'Hibiscus sabdariffa L., également connu sous le nom de roselle, ses graines sont utilisées pour leur huile et la plante est utilisée pour ses propriétés médicinales, tandis qu'en Afrique de l'Ouest, les feuilles et les graines en poudre sont utilisées dans les repas. De plus, elle est utilisée dans les industries pharmaceutiques et alimentaires.

La roselle est une source importante de vitamines, de minéraux et de composés bioactifs, tels que les acides organiques, les phytostérols et les polyphénols, dont certains ont des propriétés antioxydantes. Le contenu phénolique de la plante se compose principalement d'anthocyanes comme le delphinidine-3- glucoside, le sambubioside et le cyanidine-3-sambubioside ; d'autres flavonoïdes comme la gossypétine, l'hibiscétine et leurs glycosides respectifs ; l'acide protocatéchuique, l'eugénol et les stérols comme le β-sitoestérol et l'ergoestérol. L'extrait de calice de roselle est une bonne source d'antioxydants grâce à ses anthocyanes. L'anthocyanine est un type de composant flavonoïde qui peut être présent dans les calices de Roselle. Une étude a suggéré que l'anthocyanine est la principale source de capacité antioxydante dans l'extrait de pétale de roselle. Une étude antérieure a montré que l'extrait aqueux de cette plante pouvait inhiber plusieurs bactéries infectieuses nosocomiales telles que S. aureus. 3

L’hibiscus a été largement utilisé dans les médecines locales. En Inde, en Afrique et au Mexique, les infusions de feuilles ou de calices sont traditionnellement utilisées pour leurs effets diurétiques et stimulant le péristaltisme intestinal. En Egypte, les préparations à base de calices ont été utilisées pour traiter certains maux ainsi que pour augmenter la production d'urine (diurèse). En Afrique du Nord, les préparations à base de calices sont utilisées pour traiter les maux de gorge et la toux, ainsi que les problèmes génitaux. En Inde, une décoction des graines est utilisée pour soulager les douleurs urinaires et les indigestions. 4

Effet diurétique

Des auteurs ont étudié les effets diurétiques de l'infusion aqueuse d'Hibiscus sabdariffa (HS) chez des rats. Après l'ingestion d'un extrait d'HS pendant 6 heures, la quantité d'urine recueillie a augmenté jusqu'à 103 ml/kg, ce qui était significativement plus élevé par rapport au placebo d'eau (46 ml/kg) et à 25 mg/kg d'hydrochlorothiazide (83 ml/kg). Le sodium urinaire, le potassium urinaire et l'acide urique ont également augmenté par rapport au placebo et à ceux traités à l'hydrochlorothiazide. Une autre étude a suggéré que le thé de roselle avait des effets uricosuriques dose-dépendants (3 g/jour) chez l'homme qui pourraient être utilisés dans le traitement de l'hyperuricémie dans la maladie de la goutte. À cette dose, elle n'a pas d'effet antilithique ni diurétique. Leur étude a porté sur deux groupes du modèle humain, l'un sans antécédents de calculs rénaux et l'autre avec des calculs rénaux. Des échantillons de sang et d'urine ont été prélevés et analysés au début de l'étude, pendant la consommation de thé et 15 jours après l'arrêt de la consommation de thé. Tous les paramètres sériques se situaient dans la fourchette et il n'y avait pas de différence significative entre les deux groupes. Les paramètres urinaires au départ étaient les mêmes dans les deux groupes, mais après la prise de thé, on a constaté une augmentation de l'oxalate et du citrate, de l'excrétion d'acide urique et de l'excrétion fractionnelle d'acide urique dans les deux groupes, qui ont été ramenés à leur niveau de base pendant la période d'élimination. 5

La bruyère 6

Calluna vulgaris L. Hull, connue également sous le nom de bruyère commune, de plante de Ling, de bruyère ou de bruyère écossaise, est utilisée pour ses propriétés pharmacologiques, ainsi que pour d'autres caractéristiques spécifiques. Appartenant à la famille des Ericaceae , la bruyère est originaire d'Europe, mais est devenue l'une des plantes les plus répandues en Asie, en Amérique du Nord, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Décrite comme une espèce oligotrophe et calcifuge, cette petite plante vivace à feuilles persistantes et à tiges ligneuses et flexibles est capable de survivre dans des sols rigides (sols acides, pauvres en minéraux) et dans des conditions environnementales sévères (précipitations, température, zonation altitudinale, etc.). Mesurant au maximum 100 cm de haut et ayant une forme hémisphérique, C. vulgaris se caractérise par des branches ascendantes à tiges multiples, des feuilles petites et persistantes et des fleurs pourpres avec des grappes d'inflorescence uniques et longues. La composition phytochimique de C. vulgaris a révélé la présence de composés bioactifs tels que des flavonoïdes, des phénols, des tanins, des proanthocyanidines, des dérivés de l'acide caféique, des stéroïdes, des triterpènes et des hydroquinones. Ces métabolites secondaires, présents dans les différentes parties de la plante, varient en termes de composition et d'effets pharmacologiques. Ainsi, des activités biologiques positives ont été révélées, notamment des activités antioxydantes et antimicrobiennes.

La composition chimique de C. vulgaris a été largement étudiée afin d'identifier ses principaux composés bioactifs et son statut nutritif. Ainsi, les études réalisées ont révélé la présence de différentes classes de composés, dont les composés phénoliques sont les plus remarquables. Ainsi, les acides phénoliques (acide hydroxycinnamique, acide caféique, coumarines), les flavonoïdes (rutine, quercétine, isoquercétine, kaempférol, lutéoline, apigénine), les phénols et leurs glycosides (hydroquinone, arbutine, méthylarbutine), les tanins, les triterpènes, les anthocyanidines, les terpénoïdes (lupéol, acides ursolique et oléanolique), les acides organiques, les stéroïdes, les huiles essentielles et leurs sous-classes sont les composés les plus distincts signalés dans la composition de cette plante.

Effet antioxydant

La capacité antioxydante de la bruyère, a été soulignée par plusieurs études. Par exemple, des chercheurs ont testé l'activité de piégeage du flavonoïde kaempférol-3-O-β-D-galactoside contre certaines espèces de radicaux réactifs de l'oxygène, montrant une inhibition de 90,1 % et 93,5 % des radicaux 1,1-diphényl-2-pirylhydrazyl (DPPH) à 200 et 1000 μg/mL, respectivement, tandis que l'inhibition de O-2 était plus faible - 70,4 % et 79,8 % - en utilisant les mêmes concentrations du flavonoïde. D'autre part, les recherches de Dróżdż et al, ont montré que la capacité antioxydante de la plante de bruyère sauvage est inférieure à celle de la plante cultivée, la capacité réductrice totale des extraits de C. vulgaris allant de 75,7 mg GA/g (pour les plantes sauvages) à 89,1 mg GA/g pour les plantes cultivées.

Comme l'ont révélé les études, l'activité antioxydante est corrélée à la teneur en phytocomposants présents dans les échantillons analysés. Ainsi, comme l'ont montré des recherches, le degré de corrélation le plus élevé pour l'activité antioxydante à l'aide du test FRAP (pouvoir antioxydant réducteur de fer) a été présenté pour le contenu phénolique total. Des résultats similaires ont été publiés et qui ont démontré la même corrélation positive entre l'activité antioxydante et les composés bioactifs de la bruyère.

Sources 

1- Kalin, P., Gülçin, İ., & Gören, A. C. (2015). Antioxidant activity and polyphenol content of cranberries (Vaccinium macrocarpon). Records of Natural Products, 9(4), 496. [https://www.researchgate.net/publication/281728996_Antioxidant_activity_and_polyphenol_content_of_cranberries_Vaccinium_macrocarpon]

2- Pérez‐López, F. R., Haya, J., & Chedraui, P. (2009). Vaccinium macrocarpon: an interesting option for women with recurrent urinary tract infections and other health benefits. Journal of Obstetrics and Gynaecology Research, 35(4), 630-639.[https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19751320/]

3- Al-Hashimi, A. G. (2012). Antioxidant and antibacterial activities of Hibiscus sabdariffa L. extracts. African Journal of Food Science, 6(21), 506-511.[https://www.researchgate.net/publication/328052824_Antioxidant_and_antibacterial_activities_of_Hibiscus_sabdariffa_L_extracts]

4- Da-Costa-Rocha, I., Bonnlaender, B., Sievers, H., Pischel, I., & Heinrich, M. (2014). Hibiscus sabdariffa L.–A phytochemical and pharmacological review. Food chemistry, 165, 424-443.[https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S030881461400692X]

5- Riaz, G., & Chopra, R. (2018). A review on phytochemistry and therapeutic uses of Hibiscus sabdariffa L. Biomedicine & Pharmacotherapy, 102, 575-586. [https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29597091/]

6- Cucu, A.-A.; Baci, G.-M.; Cucu, A.-B.; Dezsi, Ş.; Lujerdean, C.; Hegeduş, I.C.; Bobiş, O.; Moise, A.R.; Dezmirean, D.S. Calluna vulgaris as a Valuable Source of Bioactive Compounds: Exploring Its Phytochemical Profile, Biological Activities and Apitherapeutic Potential. Plants 2022, 11, 1993. [https://doi.org/10.3390/plants11151993]

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